Émilie Brout & Maxime Marion ont commencé leur collaboration à l’ENSAD Paris. Leur démarche s’articule largement autour de liens et de rencontres opérées entre archétypes issus de l’histoire de l’art et culture du web. Leurs pièces, à la fois critiques et émotionnelles, intègrent dans leurs modalités de production mêmes les spécificités économiques, politiques et sociales induites par les différents registres esthétiques qu’elles convoquent. Avec la vidéo comme médium de prédilection, iels visent à inscrire de l’incarnation dans leurs champs d’intervention, et ce le plus souvent au moyen d’approches narratives ouvertes, non linéaires et non héroïques.
Leur travail a intégré les collections du centre Pompidou, de FRAC (Ile-de-France, Franche-Comté…) ou encore de la fondation Schneider, et a figuré dans de nombreux médias tels que Zérodeux, Le Monde, Libération, France Culture, Les Inrocks, Tracks, Art Viewer, New York Observer, BBC ou Frieze. Leurs précédentes expositions et projections incluent :
Kunsthal Charlottenborg, Copenhague ; KW Institute for Contemporary Art, Berlin (2024) ; Centre Pompidou, Paris (2023) ; Fondation EDF, Paris ; BIAN Biennale, Montréal ; B3 Biennale of the Moving Image, Francfort ; BPS22, Charleroi ; Villa Arson, Nice (2022) ; Casino Luxembourg ; Supercollider, Los Angeles (2021) ; Centre d’art contemporain de Malakoff ; Centre Culturel Canadien, Paris (2020) ; MAC VAL, Vitry-sur-Seine ; Prix Science Po pour l’art contemporain, Paris (2019) ; Maison Populaire de Montreuil (2018) ; Le Loft – Collection famille Servais, Bruxelles (2017) ; OCAT Shenzhen ; IAC Villeurbanne ; 5th Moscow Biennale for Young Art (2016) ; Seongnam Art Center (2015) ; Palais de Tokyo, Paris (2014). Iels ont bénéficié d’expositions personnelles notamment à 22,48 m², Paris (de 2013 à 2023) ; La Chaufferie, HEAR, Strasbourg ; Pori Art Museum (2019) ; Villa du Parc, Annemasse (2018) ; Steve Turner, Los Angeles (2017).