Conférence de David Hartt

Dans le cadre d’un partenariat avec la Villa Albertine, 6 écoles supérieures d’art et de design accueilleront David Hartt en résidence pédagogique et de création. L’artiste canadien proposera un workshop à l’ÉSACM du 20 au 24 novembre 2023, et donnera une conférence publique le 20 novembre 2023 à 17h30.

David Hartt propose aux écoles d’art et design françaises de travailler à partir du concept qu’il nomme Terraforming, une analyse de la façon dont le paysage est constamment façonné pour refléter des valeurs culturelles différentes et concurrentes.

→ + d’infos ici

Image : Installation view of The Histories (Crépuscule) in New Grit: Art & Philly Now, The Philadelphia Museum of Art, Philadelphia, PA, 2021

Table ronde « Faire écosystème : les acteurs culturels, accélérateurs des dynamiques de transitions territoriales »

Un évènement proposé en partenariat avec l’Agence d’Urbanisme Clermont Massif Central, dans le cadre de la 44e journée nationale des agences d’urbanisme intitulée « No cultures no futures » qui se tiendra du 15 au 17 novembre 2023. 

Cette table ronde proposée le jeudi 16 novembre à 14h45 permettra les échanges entre Amélie Sounalet, coordinatrice du Pôle éducation artistique et culturelle de l’ÉSACM et Nathalie Miel, directrice du DAMIER.

Le programme complet de ces journées ici.

Évènement sur inscription : https://aucm.fr/inscription-fnau44/ 

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Au déni succède le vertige. Au refus de voir le monde s’effondrer – avec un climat qui s’emballe, le vivant qui s’étiole, des ressources qui s’épuisent et des inégalités qui se creusent – s’ensuit la désorientation. Redevenue vulnérable et privée  des repères forgés par la modernité, l’humanité va devoir réinventer ses manières de vivre sur terre.

Le changement global n’est pas une crise passagère. Des ajustements techniques, économiques ou sociaux isolés ne suffiront pas à retrouver « les équilibres d’antan » comme les discours sur les transitions et la résilience le laissent parfois supposer. La situation est vertigineuse parce que la réorientation écologique indispensable pour sauver l’habitation humaine de la planète promet d’être un moment historique de reconception des mondes et de réinvention de nos territoires.

C’est une profonde recomposition culturelle qu’il faut engager, si l’on entend par culture, l’ensemble des représentations et des récits, des codes et des pratiques, des valeurs et des attachements qui lient les collectifs humains à leurs milieux de vie. Cette recomposition culturelle est heureusement déjà perceptible si l’on prête attention à ses signaux faibles en matière d’agriculture, d’alimentation, de production, d’énergie, d’habitat, de mobilité, d’aménagement et d’urbanisme, de démocratie, de relations au vivant, etc. 

Du côté des sciences et de l’art, ce sont de nouvelles pensées, de nouveaux savoirs, de nouveaux récits, de nouveaux imaginaires, de nouvelles sensibilités, de nouvelles émotions, de nouvelles relations entre humains, mais aussi non humains, de nouvelles expériences de vie et de cohabitation qui sont mises en scène. D’aucuns n’hésitent pas à parler de véritable Renaissance.

L’objet de cette 44e Rencontre des agences d’urbanisme est d’aborder la réorientation écologique des territoires au travers de cette recomposition culturelle. Pendant trois jours, du mercredi 15 au vendredi 17 novembre 2023, la Comédie de Clermont-Ferrand scène nationale  sera notre refuge pour écouter, apprendre et discuter, pour enquêter, expérimenter et atterrir, pour partager et nous émouvoir, littéralement  « nous mettre en mouvement ». Conférences, débats, performances, expositions, explorations, dégustations, danse : c’est à une joyeuse expérience d’émulation « punk » et de co-habitation anthropocène au cœur du Massif central que nous vous convions.

« Chœurs », le Diplôme supérieur de recherche en art de Stéphanie Lagarde

Choeurs est un événement pensé et élaboré collectivement, où lectures et performances s’entremêlent. C’est la présentation d’une recherche de quatre ans à l’ÉSACM, c’est un diplôme supérieur de recherche en art, c’est un tournage de film. C’est au Pôle chorégraphique Boom’Structur.

L’artiste Stéphanie Lagarde articule une recherche autour d’un projet de film évoquant un réseau d’affinités d’êtres forestiers interdépendants, mis en lien avec l’expérience de la parentalité. Dans le cadre de son diplôme, elle invite les collaborateurices qui l’accompagnent à déployer textes, images, lectures.

PROGRAMME

17h00 – Choeurs – Présentation de la recherche et du programme

17h30-  the story began long ago… – proposé par enrico floriddia

18h00 – Filles de Colon*nes – proposé par Sophie Lapalu

18h30 – Protect me from what I want  – proposé par sarah netter

19h00 – La Diplomatie n’existe pas – proposé par Stéphanie Lagarde

19h50 – Ballade de l’orseille – proposé par Teresa Castro et Gahé Daubercies

20h30 – La route a pedex – proposé par Janna Zhiri

20h45 – O – proposé par Rachele Borghi

21h30 – Dîner – proposé par Robin Tornambe – Les Ateliers

 

→ Entrée libre sur inscription ici (dans la limite des places disponibles)

→ à Boom’Structur, 190 boulevard Gustave Flaubert, 63000 Clermont-Ferrand

Les horaires des performances sont donnés à titre indicatifs et sont susceptibles de sensiblement différer. 

 

Image: enrico floriddia / Constantin Jopeck / Stéphanie Lagarde / Théo Levillain / Pieter Van der Schaaf

Table ronde « Agir pour vivre de nos pratiques »

Le prochain rendez-vous du cycle  » Travailler dans le champ de la création « .
 Tour d’horizon de l’actualité sociale dans les arts : Quels pièges éviter dans les démarches administratives et face à l’Ursaff ? Quelles applications des droits d’auteur·rice ? Quels impacts des réseaux numériques et du développement de l’intelligence artificielle ?

Avec Pierre Garçon (co-secrétaire du syndicat national des artistes plasticien·nes – SNAP) et Guillaume Lanneau (Président de la société des auteurs des arts visuels et de l’image fixe – SAIF)

Théâtre du Lieu-Dit, 10 rue Fontgiève 63000 Clermont-Fd, gratuit et ouvert à tou·tes

Anarchie Film et Botanique

Proposé par les chercheur·es Stéphanie Lagarde et Constantin Jopeck

Anarchie Film et Botanique est une équipe constituée de Stéphanie Lagarde et Constantin Jopeck, tou·tes deux artistes plasticien·nes, chercheur·es à la Coopérative de Recherche à l’ÉSACM. Travaillant sur des thèmes et des questionnements communs, Stéphanie Lagarde et Constantin Jopeck ont fondé en 2021 Anarchie Film et Botanique, une équipe visant à créer des parallèles entre les politiques et modèles collaboratifs humains et les comportements des animaux et des plantes, ainsi que leurs stratégies respectives d’occupation de l’espace, de survie et de coopération.

Tout en étant lié à la pédagogie de l’ÉSACM, Stéphanie Lagarde et Constantin Jopeck invite artistes, penseurs, scientifiques, étudiants, sociologues, philosophes, à collaborer/participer pour contribuer à la pensée et la recherche par le biais de pratiques collectives (lectures, débats, prises de vue), de journées de recherches, tables rondes, workshops pratiques sur le terrain, ateliers à la Ferme Urbaine. Stéphanie Lagarde et Constantin Jopeck proposent par ailleurs un travail visuel expérimental à partir de leur étude des outils d’observation et de production d’images scientifiques et s’inspireront de certains cas d’études (micro-organismes, lichen, coléoptères, mante religieuse) pour mettre en exergue dans leur récit les notions de refuge et de dispersion.

éditionpassion

(Proposé par Léticia Chanliau et Carin Klonowski)

éditionpassion est un format de recherche autour de l’édition alternative (micro et auto édition), initié par Léticia Chanliau et Carin Klonowski, toutes deux chercheuses à la Coopérative de recherche. Le projet est né de leur rencontre et de leurs pratiques éditoriales respectives. Il a pour objet d’investiguer la chaîne de production et de diffusion des objets éditoriaux et multiples en se concentrant sur des problématiques spéculatives, économiques (rareté d’un ouvrage, collection) et sociales (aspect communautaire de la micro-édition).

Le fonctionnement d’editionpassion est celui d’un collectif, où les relations tentent d’être horizontales et le travail collaboratif. Une bibliothèque participative est mise à disposition à la Coopérative, réunissant autant les éditions du collectif que la collection déjà constituée. éditionpassion s’organise autour de temps de travail collectif comme de rendez-vous individuels.

Une fresque de 1956 exposée à l’ÉSACM avant sa vente aux enchères. 

À l’occasion de sa vente consacrée aux Arts du XXe siècle qui se tiendra le 28 septembre à 14h30, l’Hôtel des Ventes de Clermont-Ferrand met en lumière une fresque de Line et Claude Malespine, découverte il y a quelques mois dans un appartement du centre-ville clermontois. Commandée par les propriétaires de l’appartement dans les années 50 l’importante fresque réalisée en laque d’une dimension spectaculaire de 2,65 m de haut sur 4,80 m de large. L’artiste Claude Malespine a été directeur de l’École supérieure d’art de Clermont Métropole (ancienne école des Beaux-Arts) à partir de 1952. Line Malespine y était professeur. C’est pourquoi l’exposition de l’œuvre a lieu dans le grand atelier de l’école d’art. Un hommage à ces artistes, et une retrospective qui s’inscrit dans le champ du bi-centenaire de l’école, qui sera célébré en 2024. 

Œuvre visible à l’ÉSACM jusqu’au vendredi 22 septembre 2023, tous les jours de 9h à 18h.

Vente aux enchères réalisée par les commissaires-priseurs clermontois Bernard Vassy et Alain Courtadon, à l’hôtel des Ventes de Clermont-Ferrand, le 28 septembre 2023 à 14h30 (19 rue des Salins, 63000 Clermont-Ferrand)

+ d’infos ici 

Programme d’automne du cycle Travailler dans le champ de la création

Le cycle « Travailler dans le champ de la création » a pour objectif d’accompagner les travailleureuses de l’art et de proposer un espace de questionnement et de réflexion sur les modèles de production et de diffusion de l’art. Ce programme d’automne s’adresse aux artistes et aux professionnel·les qui travaillent à leurs côtés. Il est co-organisé par Culture en danger 63, l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole et le Conseil départemental du Puy-de-Dôme. Il est co-produit par Clermont-Ferrand Massif Central 2028 – Ensemble construisons la capitale et bénéficie du soutien du Ministère de la culture.

Cet automne, Culture en Danger 63 et l’ESACM vous proposent quatre rendez-vous pour échanger avec des artistes, des chercheures et des professionnelles de la culture à propos des enjeux sociaux, économiques, politiques et écologiques du travail artistique.

→ Présentation et rendez-vous individuels (sur inscription) avec l’AFDAS et Pôle emploi scène et image : Formation et accompagnement professionnel à destination des artistes

Mercredi 18 octobre – 9h30-12h30/ 14h-16h – Théâtre du Lieu-Dit, entrée libre

AC//RA (Art Contemporain en Auvergne Rhône-Alpes) s’est associée à l’AFDAS (assurance formation qui gère l’ensemble de la formation professionnelle du secteur des arts et de la culture) et à Pôle emploi Scènes et Images (agence spécialisée dédiée à l’accompagnement des professionnelles du spectacle et des arts visuels) pour organiser un cycle de rencontres sur la formation professionnelle et l’emploi dans les arts visuels à destination des artistes-auteurrices et des lieux d’art. Cette rencontre permettra :
– De présenter la législation et les dispositifs liés à la formation professionnelle des artistes-auteur
rices
– De présenter l’accompagnement proposé aux artistes-auteur
rices par Pôle emploi Scènes et Images

9h30 : Présentation par AC//RA de la journée et des intervenant·es
9h45 – 12h30 : Interventions de l’AFDAS et de Pôle emploi Scènes et Images
14h – 16h : Rendez-vous individuels et sur inscription proposés par l’AFDAS et Pôle emploi scènes et images. 20 min par rendez-vous (Pour vous inscrire : https://www.ac-ra.eu/cycle-rencontre-afdas/cycle-rencontres-afdas-pole-emploi-2023/ ) 

Agir pour vivre de nos pratiques 

Mardi 24 octobre- 17h30-20h30- Théâtre du Lieu-Dit, entrée libre

Rencontre et débat avec des représentant⸱es de la SAIF (Société des Auteurs des Art Visuels et de l’Image Fixe) et du SNAP (Syndicat national des artistes plasticiens)

 

—————————CYCLE ART ET ÉCOLOGIE ———————-

 

Ce cycle de rencontres a pour objectif de questionner le travail artistique au regard des enjeux écologiques et environnementaux. Il peut certes sembler accessoire, à l’heure des bouleversements climatiques, de s’arrêter sur les ressorts de la création pour penser et porter ces enjeux. Or, le secteur artistique a un rôle à jouer face à l’urgence écologique et ce à la fois dans ses dimensions politiques, matérielles et symboliques. Ces deux tables rondes permettront de questionner, à partir d’exemples concrets et dans la discussion, les différentes formes d’engagement des artistes et les processus de création et de diffusion de l’art au regard des enjeux écologiques. 

L’art au service de l’écologie

mercredi 11 octobre 2023 – 18h-20h – Théâtre du Lieu-Dit, entrée libre. 

Cette première table ronde sera l’occasion d’explorer les liens entre engagement militant et engagement artistique et de se questionner sur ce que peut l’art pour la prise de conscience et la sensibilisation des publics à l’égard des enjeux écologiques. 

Cet engagement peut prendre la forme d’une démarche artistique tournée vers l’investigation et la mise au jour des dimensions économiques, sociales et politiques qui sous-tendent les questions écologiques. Cet engagement peut aussi se manifester dans une nouvelle appréhension de la « nature », qui ne serait non plus considérée comme le décor, le cadre spectaculaire de l’intervention de l’artiste, mais comme une partenaire et deviendrait, dès lors, le point de départ d’une nouvelle relation tissée avec le vivant. 

 

Quels impacts environnementaux de la production et de la diffusion de l’art ?

mercredi 8 novembre – 18h-20h – Théâtre du Lieu-Dit, entrée libre

Cette deuxième table ronde permettra d’analyser collectivement le coût environnemental de l’art et ce en considérant le cycle de vie d’une œuvre, depuis le processus de production et le choix des matériaux utilisés, en passant par la diffusion (transports, lieux et modes de diffusion) et jusqu’au stockage ou à l’éventuelle destruction des œuvres. Si on peut ici considérer les démarches artistiques à une échelle individuelle, il s’agit également d’examiner l’organisation du secteur artistique dans ses dimensions géographiques et économiques. 

Cette table ronde sera également l’occasion d’un partage d’outils et d’expériences visant à soutenir les initiatives de celles et ceux qui souhaitent agir pour faire advenir le changement. 

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INFOS PRATIQUES

Entrée Libre – Théâtre du Lieu-Dit

10 Rue Fontgiève, Clermont-Ferrand

Téléchargez le programme au format pdf

Le DSRA d’Enrico Floriddia prendra la forme d’un festival, en Sicile

Le DSRA (Diplôme supérieur de recherche en art) de enrico floriddia, chercheur à la Coopérative de recherche prend la forme d’un festival intitulé fudda, et qui se tiendra les 22, 23 et 24 septembre à Catane, en Sicile.

fudda est un festival qui explore des formes de coexistence et de coopération : se mêler et se soutenir mutuellement, pour apprendre les un·es des autres et pour se libérer de la compétitivité. Cette proposition part de l’art contemporain pour aller à la rencontre des pratiques sociales, culturelles et d’agrégation.

fudda propose un espace de trois jours dans lequel différentes formes de rencontres peuvent avoir lieu. Chaque proposition offre différents modes d’inclusion et niveaux d’interaction, entre écoute, participation, soutien ou implication. fudda est ouvert à d’autres propositions et manières de faire, et est prêt à toute forme de contamination dans la joie et la légèreté.

En préparation de ces trois jours, des ateliers collectifs ont été organisés pour dégager des besoins et envies communes, partager son expertise et proposer de nouveaux modèles de collaboration.

fudda propose un festival diffus et décentré. Pour cette raison, il se déploie dans différents espaces et réalité éparpillées dans les quartiers de la ville. Il est force accueillante à son tour, en intégrant dans son programme des propositions diverses : performances de mouvement, ateliers, concerts, conversations, workshops, pique-nique, rencontres…

fudda & ruppo

fudda est un terme sicilien qui évoque une assemblée de personnes en mettant en avant leur multiplicité. Le festival propose différentes formes de rassemblement, de groupement ou de réunion : pour tenter de répondre à différents besoins et permettre différents niveaux de participation. Tout cela en essayant de faire se croiser des champs d’activité qui se rencontrent rarement : activisme social, arts de la scène, arts visuels, pratiques discursives et discours. Avec la volonté de construire un réseau, un ruppo, sur le long terme et de s’affranchir de la compétitivité. 

Parmi les membres investis dans cette expérience on trouve :

  •  Avaja ~ un club récréatif de design territorial
  •  Salmastra ~ une petite fenêtre pour imaginer et créer ensemble des liens alternatifs avec la mer
  •  Fondation Brodbeck ~ fondation d’art contemporain
  •  Spazio Oscena ~ laboratoire permanent de théâtre, de danse et d’expérimentation esthétique
  •  BOCS ~ boîte d’espace contemporain
  • Legatoria Prampolini ~ librairie, café, espace culturel
  • Trame di quartiere ~ projet d’innovation culturelle situé dans le quartier de San Berillo
  • Balloon project ~ plateforme d’édition et de conservation pour l’art contemporain
  • Maglia ~ festival de réutilisation des textiles
  • Iunta ~ collectif de femmes artistes de la scène et de la performance
  • White garage ~ galerie de design et d’art contemporain
  • Viaraffineria ~ dépôt dynamique d’art contemporain et de recherche
  • ~ centro culture contemporanee
  • Vastasa ~ atelier d’art

Lorsqu’il y a foule, on dit souvent ici qu’il y a « ruppo » en sicilien. Un « ruppo » est un nœud de personnes. Chaque nœud du réseau représente une réalité existante qui offre une contribution au festival. 

Être « ruppo » implique un désir d’autonomie, un désir de maintenir ses propres particularités, mais aussi de travailler en réseau avec une sensibilité commune : abandon de la concurrence entre celleux qui travaillent dans la culture et le travail social ; dignité du travail à travers des opérations durables et équitables ; lutte contre le discours de haine ; élargissement et diversification des publics.

Le groupe se projette au-delà du court terme du festival pour former un réseau de collaboration, de mutualité et de soutien à long terme.

fudda comme une étendue, ruppo comme un filet à larges mailles qui s’étend à travers la foule qui le traverse.

https://linktr.ee/fuddafest

Fermeture estivale : du 31 juillet au 23 août 2023 inclus

L’école ferme ses portes du 31 juillet au 23 août 2023 inclus.

La réouverture aura lieu le mercredi 23 août, avec un accueil ouvert de 8h à 16h, jusqu’au vendredi 25 août.

Puis le lundi 28 août, les horaires d’accueil habituels reprendront : ouverture du lundi au vendredi, de 8h à 18h.