Venez découvrir l’école pendant les Journées Portes Ouvertes

À l’occasion des Journées portes ouvertes,  l’ESACM propose la découverte de ses ateliers, ses équipements (bibliothèque, menuiserie, maquette, gravure, volume, sérigraphie, salle numérique, laboratoires et impressions photographiques, studio et montage vidéo, son…), son Fablab, ainsi que des accrochages de travaux d’étudiants.

Un moment privilégié pour s’informer sur les étapes du cursus, les dispositifs pédagogiques, les diplômes (DNA et DNSEP), les modalités d’admission et l’examen d’entrée.

Il sera également possible d’échanger avec les étudiants et des membres de l’équipe éducative.

PROGRAMME 

-Des visites de l’ESACM toutes les 30 minutes par ses étudiants : découvrez les ateliers et équipements (bibliothèque, menuiserie, maquette, gravure, volume, sérigraphie, salle numérique, laboratoires et impressions photographiques, studio et montage vidéo, son…).

-Une exposition des travaux produits par les étudiants de 4ème année lors de leurs résidences de 6 semaine à New-York, Cotonou (Bénin), ou à Lima (Pérou), en janvier et février 2019.

-Deux après-midis «OpenLab» (Portes Ouvertes du FabLab):  Le FabLab de l’ESACM est un atelier de création et de fabrication équipé d’outils technologiques innovants (imprimante 3D, découpeuse et graveuse Laser, brodeuse numérique…). Les 8 et 9 mars, de 14h à 18h, des démonstrations et des initiations, vous seront proposées pour repartir avec un objet personnalisé !

-Un point d’informations, samedi 9 mars à 15h, dans l’amphithéâtre, par Muriel Lepage, directrice de l’école.

Examen d’entrée : 6 et 7 mai 2019 (date limite de dépôt des dossiers : 8 avril)
Commission d’admission par équivalence : 10 avril 2018 (date limite de dépôt des dossiers : 13 mars)

plus d’infos sur les admissions

L’ESACM participe à Panorama 2018 !

Les associations régionales, AC//RA – Art Contemporain en Auvergne-Rhône-Alpes et l’Adéra – Association des écoles supérieures d’art et de design Auvergne-Rhône-Alpes, ont organisé à Clermont-Ferrand, les 29 et 30 juin 2017, des journées professionnelles intitulées « Panorama : Enjeux et perspectives des arts visuels en Auvergne-Rhône-Alpes ». Plus de deux cents professionnels, en provenance de tout le territoire de la nouvelle grande région, répartis en ateliers, ont réfléchi à la situation des arts visuels en Auvergne-Rhône-Alpes. Cette réflexion commune a permis d’aboutir à 24 propositions, qui visent à favoriser une structuration en réseau du secteur et à améliorer la situation des arts visuels en Auvergne-Rhône-Alpes.
Panorama 2018 permettra de prolonger et d’approfondir les échanges et les propositions élaborées par les participants lors des deux journées professionnelles de 2017.

Soirée Open Lab : Venez découvrir notre FabLab !

Le FabLab ouvre ses portes pour une soirée Open Lab, le 20 février, de 18h à 21h !

Venez, à cette occasion, découvrir les machines, assister à des démonstrations, des initiations, et la présentation d’une sélection de réalisations, pendant un moment convivial, au coeur de l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole.

RDV le mercredi 20 février, de 18h à 21h !

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Le FabLab de l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole est un atelier de fabrication ouvert, qui accueille tous les créatifs, makers, bricoleurs, ou curieux, qui souhaitent travailler de façon collaborative à un projet de création, autant en dessin, en gravure, en sculpture (…), assistés par des outils innovants.

Qu’est ce qu’un FabLab ?

Le mot « FabLab » désigne un LABoratoire de FABrication ; c’est un lieu où toute personne, quel que soit son degré de connaissance peut venir échanger, expérimenter, apprendre ou élaborer tout type d’objets, en utilisant les différentes machines et technologies disponibles, apprendre des autres membres, ou participer à différents projets collectifs.

 Ses équipements

– impression 3D

– découpe et gravure Laser

– fraiseuse bois à commande numérique

– brodeuse numérique

– tablette graphique

– kinect

– plotter de découpe

Toutes les infos sur le FabLab ici.

Rencontre avec deux réalisateurs pendant le Festival du Court-Métrage

Dans le cadre du Festival du Court-Métrage de Clermont-Ferrand, l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole vous invite à deux rencontres :

  • Une présentation du travail du réalisateur Soufiane Adel
    Mardi 5 février,
    de 13h30 à 15h dans le Grand Atelier de l’ESACM.
  • Une présentation du travail du réalisateur Yassine Qnia
    autour du projet de court-métrage « Le jour où j’étais perdu » coécrit avec Soufiane Adel
    Jeudi 7 février,
    de 13h30 à 15h dans le Grand Atelier de l’ESACM.

 

Deux évènements gratuits et ouverts à tous.

Le nouveau quartier de l’ESACM sera inauguré le 2 février !

Samedi 2 février, le nouveau quartier Kessler-Rabanesse, entourage premier de l’école, sera inauguré, ainsi que la nouvelle place Louise-Bourgeois, parvis direct de l’école.

Un projet de renouvellement, dans lequel les étudiants, les enseignants, et les équipes pédagogiques, se sont fortement investis. 

Dans le cadre de l’élaboration du projet d’aménagement du quartier Kessler/ Rabanesse, la Ville de Clermont-Ferrand a souhaité que les espaces publics du quartier soient repensés.

Face à l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole (ESACM), entre les rues Kessler et Rabanesse, deux nouveaux bâtiments ont vu le jour, et ont ainsi défini le périmètre d’une place qui est aussi le parvis de l’école.  L’occasion pour l’école d’art de réflechir à l’identité de son quartier et à son inscription dans celui-ci.

C’est ainsi que, depuis 2017, les professeurs et étudiants de l’ESACM ont contribué à l’aménagement de ce nouvel espace, à travers 3 projets de design urbains axés sur le vivre-ensemble.

Au cours de l’année 2017, plusieurs ateliers de rencontres entre les différents acteurs du projet ont été mis en place à l’ESACM. Ils ont permis l’élaboration d’une dynamique de travail et d’un dialogue entre les étudiants et leurs professeurs d’une part, et les architectes du projet d’autre part.

Suite à l’étude de plusieurs propositions, trois projets ont été selectionnés. Trois démarches artistiques différentes, autonomes mais complémentaires, avec comme dénominateurs communs l’échange et la rencontre.

LES PROJETS

1-  LaTerrasse/Prairie

La proposition était celle d’un îlot végétalisé, en réponse à la construction géométrique de la place : une installation de bois construite autour d’une oasis végétale.

L’îlot veut mettre à disposition des usagers un lieu où s’asseoir, où se réunir, où flâner au bord des plantes comme on le ferait au bord de l’eau, offrant à chacun la possibilité de profiter d’une terrasse et d’un espace de verdure.

2- Projet terrain de pétanque

La volonté initiale était celle de proposer un espace qui met en place des situations de rencontre entre les habitants, les voisins, et les usagers du quartier, notamment les étudiants. La proposition d’un terrain de pétanque s’est imposée comme la réponse à un besoin de convivialité et d’échanges.

3- Projet «Je m’adresse»

Le projet «Je m’adresse» est né d’un constat : le quartier Kessler-Rabanesse est un espace qui avait perdu son identité.

Ce projet comprend la création de 41 plaques de rues, avec l’entreprise de Signalétique Alpha B, disséminées sur différents murs des bâtiments de celle-ci. Leur objectif est d’attirer l’attention sur les petites actions quotidiennes, les particularités du quartier, mettre en lumière «l’existant».

Conférence Nina Santes

Dans le cadre du cycle de conférences Danse contemporaine/Panorama en six vues initié par Rémy Héritier

«Je partirai de la figure du fantôme pour une tentative de présentation de mon parcours de danseuse et de ma démarche artistique. Je traverserai des lectures, extraits de films, chants et moments performatifs, qui exploreront l’idée d’un corps-médium, un corps traversé, depuis les figures qui me hantent jusqu’à l’élaboration d’un langage chorégraphique.
Suivant la piste des fantômes, je vous parlerai de mon prochain projet de création, République Zombie. République Zombie est initialement le titre d’un livre de Micha Berlisnki, retraçant ses années de vie en Haïti, et sa rencontre avec une juge dont la salle d’audience a dû traiter un «cas zombie». Il y a dans ce récit une dimension absurde, surréelle qui me frappe, dans l’entrechoc du monde juridique occidental et du monde occulte des zombies, et de ses sociétés secrètes oeuvrant pour le rétablissement d’une justice alternative.»

Issue de plusieurs générations d’artistes de la marionnette et du Théâtre Ambulant, Nina Santes a fait ses débuts sur scène en tant que marionnettiste. Depuis 2008 elle a collaboré en tant qu’interprète avec notamment Mylène Benoit, Myriam Gourfink, Catherine Contour, Pascal Rambert, Philippe Grandrieux, Herman Diephuis, Emmanuel Eggermont. Elle est l’auteure de pièces chorégraphiques et musicales, dont Désastre (2012), en collaboration avec le compositeur Kasper Toeplitz, Transmorphonema, un duo avec Daniel Linehan (Vif du Sujet SACD 2014), Self made man (2015), A leaf (2016) un duo avec Célia Gondol. En 2018, elle crée Hymen Hymne, actuellement en tournée. Elle est actuellement en phase de recherche pour le projet République Zombie, qui verra le jour début 2020.

En 2011, Nina Santes co-fonde l’association La Fronde avec le chorégraphe Kevin Jean. La Fronde est une tentative de créer un cadre coopératif et une façon de travailler en synergie. Parallèlement à un travail de création et de production, La Fronde propose des espaces de questionnement et d’échange autour des conditions de travail, et autour des principes éthiques de mutualisation, de partage, de solidarité. Nina Santes a reçu le Prix Nouveau Talent Chorégraphique 2018 SACD, elle sera Artiste Associée au CDCN Atelier de Paris – Carolyn Carlson, de 2019 à 2021.

Projection “Regard d’Ulysse” d’Angelopoulos

Une proposition du groupe de recherche Des exils :

Le Regard d’Ulysse, film franco-italo-grec de Theo Angelópoulos sorti en 1995.

Un cinéaste grec exilé revient dans son pays (dans le nord de la Grèce, vers Thessalonique), à la recherche des bobines originales du premier film réalisé dans les Balkans par les frères Manákis au début du XXe siècle. Cette quête va le mener au travers de différents pays des Balkans, après la chute du communisme, de la Bulgarie à la République de Macédoine naissante, pour finir son périple à Sarajevo durant la guerre de Bosnie-Herzégovine dans une Yougoslavie en cours de désintégration. Il arrive finalement sous les balles durant le siège de Sarajevo, où il découvre les précieuses bobines conservées par un vieil homme, projectionniste de cinéma, qui tente tant bien que mal de préserver le patrimoine cinématographique de son pays en pleine explosion.